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ALGÉRIE/ POLITIQUE : BRÈVES DU VENDREDI 17

Par Y.B.-- 14-Juin-2019 88

ALGÉRIE/ POLITIQUE : BRÈVES DU VENDREDI 17

 

-Les manifestations dans toutes les wilayas du pays

-ORAN:  Très forte mobilisation ce vendredi dans les rues où les dizaines de milliers de manifestants ont notamment réitéré leurs slogans liés à la « nécessité d’instaurer un État de droit qui garantirait les libertés démocratiques ».

Tlemcen : la mobilisation a été forte ce vendredi dans les rues de la capitale des Zianides où des milliers de manifestants ont battu le pavé pour réitérer leurs revendications politiques pour une véritable transition démocratique. »Tous ceux qui sont responsables de la situation désastreuse actuelle du pays doivent partir et laisser place à des patriotes et compétents », ont scandé les manifestants.

-Alger : les manifestants scandent : « Mazal Bouteflika ».

-A Tizi Ouzou, Bejaia, Bodj bou Arreridj, Bouira et dans plusieurs wilayas du pays, les manifestants rendent hommage aux victimes du printemps noir de Kabylie de 2001 en chantant “2001, chouhadas”. Sur plusieurs pancartes brandies par des manifestants sont écrits  plusieurs slogans à la mémoire des martyrs de 2001.

-Les manifestants scandent des slogans hostiles au dialogue et à la feuille de route du pouvoir. Les manifestants insistent sur “Klitou el bilad ya serraqine”(vous avez bouffé le pays les voleurs).

 Mostaganem : il y a une forte mobilisation ce vendredi dans les rues du centre-ville où des milliers de manifestants battent le pavé. » Bedoui, Bensalah Irhalou (Bedoui et Bensalah dégagez) ».

-Jijel, des milliers de manifestants sont dans la rue pour le 17e vendredi

 Alger, place Audin et Didouche noires de monde.

 Des manifestations pacifiques se déroulent actuellement dans plusieurs villes du pays pour notamment réclamer le départ des 3B

– Constantine : les enfants toujours présents aux manifestations.

-A Tizi Ouzou des policiers en civil opèrent des arrestations parmi les militants du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK) devant le campus Hasnaoua de l’université Mouloud Mammeri. Un dispositif policier inhabituel depuis le début des manifestations a été déployé au niveau du carrefour du 20 avril à quelques centaines de mètres du campus Hasnaoua point de départ des marches du vendredi.

Le père d’Ali Ghediri dénonce l’arrestation de son fils !

Lors de la manifestation du 17e vendredi à Alger, le père du général à la retraite, Ali Ghediri, a dénoncé l’arrestation de son fils.

« Mon fils a été sorti de chez lui à 18 heures. Ils l’ont emmené et le lendemain matin, ils sont encore revenus chez lui pour l’arrêter, avant de le libérer à 4 heures du matin. Ils l’ont finalement envoyé à la prison d’El Harrach. Les 120.000 signatures jointes à la candidature récoltés étaient toutes valides »

 

 Mascara : les manifestants défilent en ce moment aux cris de « Y en a marre de ce pouvoir, système dégage ».

 Tizi Ouzou : les manifestants simulent un procès de Ouyahia qui est incarcéré depuis mercredi à la prison d’El Harrach.

 Les rues d’Alger-centre déjà remplies de manifestants.

-La foule grossit à la Grande poste et la place Maurice Audin. Ils affluent de Didouche Mourad et des différentes rues de la capitale en dépit du dispositif sécuritaire déployé à Alger et à ses portes.

– A Tizi-Ouzou des policiers en civil opèrent des arrestations parmi les militants du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK) devant le campus Hasnaoua de l’université Mouloud Mammeri. Un dispositif policier inhabituel depuis le début des manifestations a été déployé au niveau du carrefour du 20 avril à quelques centaines de mètres du campus Hasnaoua point de départ des marches du vendredi.

-Devant la Grande Poste, les manifestants appellent à l’application des articles 7 et 8, « la souveraineté au peuple ».

– Les manifestants scandent ”VIVE L’ALGÉRIE”

-Les manifestants venus de l’est du pays pour participer, à Alger, à la 17e marche pour le départ du système se retrouvent face à un dispositif sécuritaire impressionnant à Dar El Beïda (entrée est d’Alger) pour les empêcher de rejoindre le centre de la capital pour prendre part aux grandes manifestations.

-Tout en saluant  l’incarcération de Ouyahia, Sellal et Benyounes, les manifestants réclament désormais les tête de Bouteflika.  « Mazal Bouteflika ».

-A 11 h00, des centaines de manifestants, munies de drapeaux et de pancartes, occupent la place de la grande poste d’Alger, encerclée par un dispositif policier imposant

 Des manifestants scandent des slogans aux personnalités emprisonnées cette semaine. « Vous avez construit des prisons, vous allez y être incarcérés tous ».

 A Alger, les premiers manifestants commencent à se rassembler devant la place de la Grande Poste, au milieu d’un important dispositif de police, en prévision de la marche de cet après-midi.

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