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ALGÉRIE/ POLITIQUE : BRÈVES du  19e vendredi de mobilisation

Par Y.B.-- 28-Juin-2019 511

ALGÉRIE/ POLITIQUE : BRÈVES du  19e vendredi de mobilisation

Les Algériens s’apprêtent à un 19e vendredi de mobilisation populaire depuis le mouvement du 22 février dans un contexte particulier marqué par l’approche de l’expiration du mandat du chef de l’Etat Abdelkader Bensalah le 9 juillet et l’absence d’une perspective de sortie de crise tant les deux camps campent sur leurs positions respectives.

-Début des manifestations dans plusieurs wilayas du pays.

-Encore une fois malgré la canicule qui sévit à Oran, les Oranais n’ont pas raté leur 19e rendez-vous de mobilisation populaire pour réitérer leur refus catégorique à tout le système qu’ils qualifient, pour la énième fois, de corrompu et de dictateur.

-Pour le 19e vendredi consécutif, toutes les villes algériennes à l’instar de la capitale, Oran, Constantine, Annaba, Sidi Bel Abbès, Tébessa, Tiaret, Tlemcen, Bouira, Béjaia, Tizi Ouzou, Guelma, Souk Ahras, Ouargla, Jijel… ont vu les rues et places envahies par des centaines de milliers de citoyens appelant sans répit au départ du système et de ses figures.

– Tipaza, les manifestants scandent “dawla madania, machi aassekaria”(Etat civil et non militaire)

-Aïn Témouchent : en dépit de la forte canicule, la mobilisation a été forte aujourd’hui dans la rue qui a été investie massivement par des manifestants déterminés à faire aboutir leur mouvement visant « l’instauration d’une République démocratique ».

Les manifestants se dispersent dans le calme à Tizi Ouzou. Des dizaines de milliers de manifestants ont pris part au 19e vendredi du mouvement populaire.

Des manifestants scandent “imazighen Casbah Bab El Oued”  tout en brandissant le drapeau amazigh au niveau de la rue Didouche Mourad à Alger.

-Des foules immenses manifestent à Alger

-Tizi Ouzou: Encore une fois, la foule a scandé son attachement à l’intégrité du pays et à la cohésion de sa population et que rien n’ébranlera sa détermination à vouloir instaurer la démocratie et l’expression libre du citoyen.

-Les premiers manifestants se regroupent à Audin et à la grande poste en dépit de l’impressionnant déploiement policier

Le dispositif policier déployé à Alger est plus important encore ce vendredi en prévision de la nouvelle journée de mobilisation pour le départ du système.

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-La police est fortement présente aux alentours des places habituelles de regroupement des manifestants comme la grande poste, place Maurice Audin, place du premier mai, Rue Didouche Mourad et autres.

-Selon des témoins, les sacs des passants dans ces alentours sont fouillis systématiquement par les policiers à la chasse de drapeaux Amazigh.

-De nombreux activistes postent des photos et des messages sur la chasse aux habitants d’autres wilayas au niveau d’Alger pour vraisemblablement  les empêcher de marcher à Alger.

-Des interpellations parmi les manifestants arrivés à Alger.

Les Algériens s’apprêtent à un 19e vendredi de mobilisation populaire depuis le mouvement du 22 février dans un contexte particulier marqué par l’approche de l’expiration du mandat du chef de l’Etat Abdelkader Bensalah le 9 juillet et l’absence d’une perspective de sortie de crise tant les deux camps campent sur leurs positions respectives

-Comme chaque vendredi, des barrages filtrants au niveau des  entrées d’Alger

– Les rangs des manifestants commencent à grossir à Alger avec la fin de la prière du vendredi.

-Les policiers ont du mal à les contenir.Alors que dans d’autres villes du pays les manifestations se déroulent dans le calme en dépit d’une forte chaleur qui sévit sur tout le pays. A Bouira, Tizi Ouzou et Béjaia, le portrait du chanteur Matoub Lounes dont on vient de commémorer le triste 21e anniversaire de son assassinat a envahi les manifestations.

 selon le le vice-président de la Ligue Algérienne de Défense des Droits de l’Homme (LADDH), Said Salhi des policiers auraient fait intrusion dans les locaux du siège du RCD à la rue Didouche Mourad et trois militants ont été interpellés dont leurs noms ont été communiqués.

 La police multiplie les arrestations parmi les manifestants dont ceux brandissant des drapeaux amazigh à Alger. La chasse aux manifestants s’est accentuée vendredi par un impressionnant dispositif policier déployé ce 19e vendredi.

-Le journaliste Bouzid Massimo Ichalalene, propriétaire du site Interlignes Algérie, et Fetta Sadat, députée RCD, ont été relâchés par la police peu de temps après leur interpellation.
C’est le journaliste lui-même qui a fait l’annonce sur Facebook. « Après une interpellation très violente, je viens d’être relâché en compagnie de la députée Fetta Sadat et deux autres manifestants », affirme-t-il.

Déployés en force à Alger, les forces de l’ordre ont procédé à plusieurs arrestations parmi les manifestants. Certains endroits emblématiques du hirak ont été totalement quadrillés à l’image de la place Audin.

– les Algériens continuent à manifester à Alger, mais aussi presque partout dans le pays, pour réclamer plus de démocratie et un meilleur avenir.

Constantine : des centaines de personnes manifestent pour le 19e vendredi

Oran : les manifestants affluent en ce moment sur la place du premier novembre 1954 (ex-place d’armes) en vu de la mobilisation ce vendredi. Le temps et clément, il ne fait pas chaud.

 Bouira : les manifestants sont dans la rue pour réclamer le changement.

-Tizi Ouzou : la foule scande : « la bhar la tehwas koul djemaa massira (Ni mer, ni vacances, une marche chaque vendredi ».

-Relizane : malgré une forte chaleur, les manifestants ont marché massivement dans la rue ce vendredi pour réclamer l’instauration d’un Etat de droit et la démocratie.

Alger : les manifestants réaffirment leur détermination à rester mobilisés.

-Constantine : des manifestants réclament le départ de Bensalah et Bedoui.

-Constantine : les manifestants scandent : « Ça y est, c’est bon, chaâb président ».

Des dizaines de milliers de manifestants marchent au centre-ville de Tizi Ouzou malgré la température qui affiche 47 degrés.

 Mascara : les manifestants scandent des slogans hostiles au FLN.

 Oran : « Djazair hora Démocratia (pour une Algérie libre et démocratique) », crient les manifestants. L’emblème national est brandi à côté du drapeau amazigh.

 Mostaganem : les manifestants sont au rendez-vous et scandent des slogans hostiles au pouvoir.

 Bejaia : de l’eau minérale distribuée gratuitement aux manifestants.

Alger : malgré la chaleur, les manifestants sont au rendez-vous pour le 19e vendredi consécutif depuis le 22 février. Le centre-ville de la capitale est quadrillé par un important dispositif policier.

-Oran : « Makanch jihawiya, khawa khawa (Il n’y a pas pas de régionalisme, nous sommes tous des frères) », scandent les manifestants dans les rues.

 Constantine : les manifestants scandent « FLN khawana » (FLN traître).

-Depuis ce matin, aucune chaîne TV en Algérie n’a daigné couvrir et transmettre les images et les vidéos des manifestations pacifiques qui se déroulent depuis le matin dans tout le pays.

Les chaînes privées d’information, habituellement friandes d’événements en direct et souvent propriétés d’hommes d’affaires proches du pouvoir ont totalement passé sous silence les manifestations qui ont rassemblé vendredi des millions de personnes à travers le pays, notamment à Alger, où se trouvent les sièges de ces médias. Les téléspectateurs leur reprochent de faire l’impasse sur les grandes manifestations anti-Gaid Salah.

La presse écrite privée et les sites d’informations ont, eux, largement couvert ces événements.

-SETIF:  Encore une fois, la foule a scandé son attachement à l’intégrité du pays et à la cohésion de sa population et que rien n’ébranlera sa détermination à vouloir instaurer la démocratie et l’expression libre du citoyen.C’est par le slogan “Gaid Salah barka mla3b 7 w 8 solta l cha3b” (Gaid Salah arrête de jouer, 7 et 8 la souveraineté au peuple) que les citoyens, venus des différents quartiers pour se rassembler devant le siège de la wilaya.

À Bordj Bou-Arréridj, malgré les tentatives de division du hirak, par la psychose et la peur, les barrages filtrants aux entrées de la ville, une chaleur de plus de 35°, et des tentatives d’intimidation, les milliers de Bordjiens sont descendus dans la rue, comme chaque vendredi, pour dire “non” à ce pouvoir qui résiste en usant de tous les moyens.

-L’association RAJ alerte sur la disparition de l’un de ses militants

-Le RCD dénonce l’arrestation de l’une de ses militantes à Alger

-BOUIRA : 13 manifestants, interpellés lors de la marche du vendredi à Bouira, pour avoir brandi le drapeau Amazigh ou refusé de le remettre aux forces de l’ordre. Les personnes arrêtées ont été emmenées vers le commissariat central.Il faut préciser qu’un dispositif sécuritaire impressionnant, a été déployé, ce vendredi à l’occasion de la marche de Bouira.

 

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