Des “actes symboliques” sont envisagés, mais il n’y aura “ni repentance ni excuses”. C’est ce qu’a indiqué l’Elysée à la suite de la remise dudit rapport à Emmanuel Macron.
Le chef de l’Etat participera à trois journées de commémoration dans le cadre du 60e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie en 1962 : la journée nationale des harkis le 25 septembre, la répression d’une manifestation d’Algériens le 17 octobre 1961 et les Accords d’Evian du 19 mars 1962, a précisé la présidence.
Le chef de l’Etat “s’exprimera en temps et en heure” sur les préconisations de ce rapport et de la commission qui sera chargée de les étudier, a précisé la présidence. “Il y aura des mots” et “des actes” du président dans “les prochains mois”, a-t-elle assuré, en précisant que s’ouvrait “une période de consultations”.
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