“La cérémonie de prestation de serment s’est déroulée en présence de cadres supérieurs du Commandement de la Gendarmerie nationale et de la Justice, conformément à l’article 20 du décret 73-108 du 06 juin 1973”, précise la même source, ajoutant que ces officiers “ayant rempli toutes les conditions juridiques exigées, ont obtenu le titre d’officier de Police judiciaire en application de l’article 12 du Code de procédure pénale, qui fait d’eux des auxiliaires de Justice exerçant sous sa bannière”.

Le serment prêté constitue “un gage d’honneur et un fondement de l’éthique professionnelle de la GN”, mais également “une reconnaissance et une admission officielle des officiers de la GN, leur permettant de s’acquitter de leurs missions et prérogatives en qualité d’officiers de Police judiciaire, conformément à l’article 15 du Code de procédure pénale”.

C’est également un engagement de fidélité aux principes de la glorieuse Révolution de Novembre, de respect des lois et réglementations, de confidentialité et de protection du pays.

Pour le gendarme, le serment est aussi un engagement de veiller à la préservation des intérêts suprêmes de la nation en toutes circonstances.

Les promus seront affectés à leurs nouveaux postes de travail pour consolider les unités de la Gendarmerie nationale sur tout le territoire national, a conclu le communiqué.